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Summary: Introduction 10 min Ce moment de l’histoire d’Israël fut marqué par cet évènement de la fin de la vie de Jephthé. Le peuple d’Ephraïm ont fait une entrée de nouveau tardive comme il l’avait déjà faite dans l’histoire de la vie de Gédéon (7/24-8/3). Mais

DANS QUEL CAMP ES TU ?!

Lecture Juges 12/1-7

Introduction 10 min

Ce moment de l’histoire d’Israël fut marqué par cet évènement de la fin de la vie de Jephthé. Le peuple d’Ephraïm ont fait une entrée de nouveau tardive comme il l’avait déjà faite dans l’histoire de la vie de Gédéon (7/24-8/3). Mais Jephthé n’a pas eu la patience diplomatique avec leur fracas qu’a eu Gédéon ; et le conflit externe est devenu une guerre civile. Les gués du Jourdain sont encore devenus la ligne de front, comme cela c’était déjà produit dans le chap. 3/28, 7/24, et 10/9. Mais ce temps fut pour Israël contre Israël.

Le centre de l’histoire est pourvu par 2 différents jeux de mots. L’Ephraïmites chargea les Galaadites de l’Est avec le fait d’être réfugiés d’eux-mêmes. " Vous êtes des fugitifs d’Ephraïm! Galaad est au milieu d’Ephraïm, au milieu de Manassé!" ce que nous remarquons dès le début c’est que ces hommes étaient plus rapides avec leurs bouches qu’avec leurs épées. Ayant fait cette charge à propos de leur frère concitoyen, ils se retrouveront eux-mêmes fuyards sur le chemin des gens de Galaad.

1er point 15 min ILS RESTENT DES EPHRAIMITES DE CETTE EPOQUE DANS NOS EGLISES.

" Pourquoi es-tu allé combattre les fils d’Ammon sans nous avoir appelés à marcher avec toi?" v.1.

Exposition

Explication bien que ces Ephraïmites soient depuis longtemps mort et loin, il y a beaucoup d’Ephraïmites vivant. Ils sont des hommes qui ne partageront pas la bataille eux-mêmes, mais sont fâchés quand d’autres réussissent.

Argumentation

I. IL Y A ENCORE DES GENS QUI PENSENT TOUJOURS QUE RIEN NE PEUT ÊTRE FAIT SANS EUX. Nous trouvons ces personnes partout -- quelques unes d’elles à la maison. Demander à une femme, active, occupé au foyer de sortir ses enfants dehors pendant un jour ; ou demandez lui d’aller à l’église le dimanche matin ; ou est-ce que de donner quelques heures à visiter le malade et les pauvres et ceux qui souffrent, que dira t’elle ? Est-ce que "comment je peux partir de ma maison ? Qui s’occupera de mes affaires ? Si j’étais hors de cette maison quelques jours tout partirait en ruine." Cette femme a fait grandir ses enfants qui pourraient et verraient les choses heureusement si elle les laissait seules. Mais elle continue dans son caprice idiot à croire que rien ne peut être fait sans elle. Et je crois en vérité que pas quelques uns ne feraient plutôt rien faire du tout si elles ne pourraient pas le faire.

L’église du Christ, malheureusement, est affligée avec un grand nombre d’hommes qui pensent que rien ne peut être fait sans eux. Il y a des hommes qui préfèrent plutôt que la bataille soit perdus que d’autres la gagnent -- qui souhaiteraient presque que le mal devrait demeurer plutôt que d’autres ont l’honneur de l’enlever. Mais qu’importe-t-il qui gagne la victoire s’il soit gagné ? Dieu ne peut accomplir ses buts sans aucun d’entre nous. Regarder au-dessus des pages de l’histoire, et vous constaterez que les ouvriers tombent, mais le travail continue.

II. IL Y A CERTAIN QUI, BIEN QU’ILS NE PUISSENT PAS ARRÊTER LE TRAVAIL, ESSAI DE COMPROMETTRE LES OUVRIERS. Les hommes du texte ont dit en effet, "et qui es-tu ? Vous êtes les fugitifs, pas de sang pur. Quelles affaires ont les préférences de toi à penser que tu peux combattre les ennemis d’Israël ? Elles sont monstrueuses, et nous ne les aurons pas." La même chose continue aujourd’hui. Il y a des hommes qui semblent penser qu’ils ont dit quelque chose d’intelligent et arrangeant quand ils disent que l’homme utile populaire n’est pas né dans un palais.

"Qui est il?" est leur cri. "Pourquoi, ne sais-tu pas qu’il était un mineur, et travaillé dans un puits de charbon ? Son père mort dans une petite maison. Sa mère était la fille d’un homme qui a conduit un cheval et chariot, et n’a jamais eu cinq livres dans sa vie." Et lequel de cela ? N’est-elle pas honnête pour obtenir le charbon ? Améliorer soit un mineur et creuse le charbon dans le service de l’homme, et ainsi le service de Dieu, que soit un oisif, un oisif, un consommateur. Une partie du plus noble des domestiques de Dieu est venue parmi des pauvres, et de l’obscur, et de l’inconnu. Notre seigneur lui même était un travailleur, et le fils des travailleurs, et prend pour jamais consacré et béni tout le travail nécessaire honnête d’humain. Ainsi je dis à vous tout, travaille fort dessus, prie dessus, continue à combattre, des victoires de victoire pour Dieu. Repoussez les ennemis d’Israël ; et si des Ephraïmites, manquant le courage et le génie eux-mêmes, vous dédaignent, laisser les.

III. IL Y A UN CERTAIN QUI NE PEUVENT PAS OU NE FERONT PAS BEAUCOUP EUX-MÊMES, MAIS DÉTESTERONT, ET DÉDAIGNERONT, ET ESSAYERONT DE PERSÉCUTER CEUX QUI FONT. "Nous te brûlerons toi et ta maison." Nous attirons l’attention dans l’histoire car ils illustrent l’arrogance avec lequel l’injustice souvent parle, et la suite montre la futilité absolue et folie d’une telle vantardise. Les hommes d’Ephraïm pouvait avoir eu aucune raison pour cette complainte et menace, autre que de détester Jephthé. Ils se plaignaient qu’ils n’avaient pas été appelés à les aider quand ils sont allés combattre avec Ammon. La folie de cette complainte est prouvée par le fait qu’il a gagné une complète victoire sans leur aide. Si il avait manqué, ou perdu, ils auraient eu des raisons de se plaindre. La réponse de Jephthé à la complainte et la menace fut logique et final. Il leur a dit premièrement pourquoi il ne les avait pas appelé. Quand lui et son peuple ont été en lutte avec Ammon, il a demandé de l’aide à Ephraïm, et cela a été refusé. Ayant donné une réponse à la complainte, il a répliqué à la menace par une sévère punition. Il peut sûrement affirmé derrière l’arrogance, et la menace, il y a invariablement injustice, et plus loin, que ces choses sont les sures signes de l’incompétence. Une frénétique vantardise est la preuve positive de faiblesse fondamentale. Pour menacer l’horreur est de déclarer la conscience du mauvais. Ceux qui sont fort dans le sens de la justice de leur cause, ne sont jamais arrogant dans leur discours, dans leur parole, ils ne menacent pas ils agissent. Quand nous sommes tentés à de bruyantes protestations de capacité, nous pouvons bien chercher la faiblesse qui nous inspire à de telle verbosité. Quand nous enclins à menacer, nous sommes sages si nous demandons nous-mêmes ce l’injustice pousse à de telle action.

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