Summary: Le livre de Ruth est un livre exceptionnel qui nous démontre comment d’une situation étriquée, de quelque chose qui démarre mal, tel que l’envie de Dieu, à la création, depuis la chute, deux histoires se côtoient, celle de la responsabilité de l’homme ave

DES CROYANTS EN TERRE ETRANGERE

Série UNE PLUS GRANDE FAIM DE JESUS

Lecture Ruth 1:1-5

Le livre de Ruth est un livre exceptionnel qui nous démontre comment d’une situation étriquée, de quelque chose qui démarre mal, tel que l’envie de Dieu, à la création, depuis la chute, deux histoires se côtoient, celle de la responsabilité de l’homme avec ses conséquences, et celle des conseils et des promesses de Dieu, malgré l’éloignement des hommes, il n’a qu’un seul but les sauver, les bénir, et les utiliser pour sa grâce.

Dieu montre dans ce livre, que la vie, la famine, la solitude, la mort, l’exil volontaire, la fidélité, devient des outils que Dieu utilise pour accomplir ses plans. L’un des buts de Ruth est de montrer comment Dieu est totalement et sans interruption en contrôle de tous les événements humains. Au niveau Théologique on appelle cela de la Providence, Vidéo voir, et pro avant, Dieu voit avant nous !

Elle traite d’une parcelle de terrain qui émerge naturellement par des conversations entre les personnages principaux : Ruth, Naomi, et Boaz. Tout à l’image de quelque chose qu’on cultive, et sur lequel on se tient pour vivre !

Du point de vue historique, le livre de Ruth nous présente d’importants chaînons dans la généalogie selon la chair du Seigneur Jésus. Il se clôt sur une courte généalogie de dix noms, dont le dernier est celui du roi David. Dans le premier chapitre du Nouveau Testament, ces dix noms occupent une place d’honneur dans l’ascendance du Roi des rois, mais avec cette différence que l’Esprit de Dieu leur associe le nom de quatre femmes, dont l’une est Ruth la Moabite. Fait significatif, chacune de ces femmes se trouve liée à des épisodes caractérisés par le péché et l’infamie, soulignant seulement que «là où le péché abondait, la grâce a surabondé».

LA MORT D’ELIMELEC ET DE SES FILS

Arriver dans ce livre de Ruth, c’est quitter le livre des Juges, livre où Dieu nous retrace l’histoire de son peuple, qui a quitté Dieu, puis Dieu l’a ramené au travers de circonstances. Le livre des Juges dévoile la déchéance toujours plus grande de l’homme en dépit de l’intervention et de l’aide divine, et se termine sur les plus sombres scènes de ténèbres et de dégradation morale. Le livre de Ruth retrace l’activité de la grâce de Dieu, malgré la ruine de l’homme, et se termine sur une scène de joie et de bénédiction.

Ici les premiers mots donnent toute la date où nous avons cette histoire. Elle avait lieu aux jours où les juges ont régné (v.1), dans ces périodes désordonnées où il n’y avait aucun roi en Israël ; mais ces choses se sont produites sous les juges nous est il dit. En contraste avec la sécheresse et la stérilité des voies de l’homme infidèle dans le livre des Juges, celui de Ruth est plein de rafraîchissement. et donc la conjecture nous instruit certaines choses.

Certains pensent qu’ils avaient lieu aux jours de Gédéon, parce qu’en ses jours seulement nous avons lu d’une famine par l’invasion des Madianites, Jug 6:3-4.

I. UNE FAMINE DANS LA TERRE, dans la terre de Canaan, qui arrive, ou d’habitude où coulaient le lait et le miel. L’histoire commence dans un moment de la famine, une catastrophe normale qui s’est souvent produite en Palestine, où les récoltes dépendaient des précipitations dans sa saison appropriée. Deutéronome 28:15, 23-24, 38-40 nous donne une explication théologique pour les famines qu’Israël éprouvé. La famine pourrait également être le résultat de la dévastation de la terre par un ennemi, comme a été infligée par les Madianites (Juges 6:3-6). Ba’ares ("dans la terre") pourrait seulement signifier la terre de Canaan, que Dieu avait donnée à son peuple. La famine était probablement répandue et non limitée à la région de Bethlehem.

C’était l’un des jugements que Dieu avait menacé d’apporter sur eux pour leurs péchés, Lév. 26:19-20 « Je briserai l’orgueil de votre force, je rendrai votre ciel comme du fer, et votre terre comme de l’airain. 20 Votre force s’épuisera inutilement, votre terre ne donnera pas ses produits, et les arbres de la terre ne donneront pas leurs fruits. » Voir aussi Deut 28 et la malédiction « Mais si tu n’obéis point à la voix de l’Eternel, ton Dieu, si tu n’observes pas et ne mets pas en pratique tous ses commandements et toutes ses lois que je te prescris aujourd’hui, voici toutes les malédictions » C’est aussi l’image concrète qu’aura un pasteur en Floride il y a quelques années pour sa génération.

Dieu a beaucoup de flèches dans son carquois. Dans les juges par exemple « Les enfants d’Israël firent alors ce qui déplaît à l’Eternel, et ils servirent les Baals. » Juges 2/11 Aux jours des juges ils ont été opprimés par leurs ennemis ; et, quand par ce jugement ils n’ont pas été reformés, Dieu a essayé ceci, la famine, parce que quand il juge il réussit. Quand la terre a eu le repos, quoi qu’elle n’en eut pas pleinement ; même à Bethlehem, qui signifie la maison du pain, il y avait de la pénurie. Bethléhem Juda, nous parle de prospérité dans laquelle Dieu voudrait que nous vivions ! Ephrata : plein de fruits…

Qu’il y ait pénurie en Israël est déjà une première chose, mais aussi à Bethléhem est une plus grande chose ! Une terre fructueuse est transformée en stérilité, pour corriger et retirer l’abondance et l’incrédulité de ceux qui demeurent là-dedans.

=>Dès l’instant où nous cessons de puiser toutes nos ressources en Christ, le chef de l’Église, son corps, dès que nous n’agissons plus sous la direction du Seigneur et sous le contrôle du Saint Esprit, nous nous mettons à faire ce qui est bon à nos propres yeux. Il est fort possible que moralement nous ne commettions rien de mal aux yeux du monde ; nous pouvons même être très zélés dans les bonnes oeuvres, et parfaitement sincères ; mais si dans nos activités, les droits du Seigneur et la direction de la Tête sont ignorés, c’est tout simplement notre propre volonté qui agit et fait ce qui est bon à nos propres yeux.

=> Une période de famine est une période de mise à l’épreuve pour le croyant sur le plan individuel. La famine teste notre foi. Élimélec habitait dans le pays que Dieu avait attribué à Israël. L’épreuve pour Élimélec consistait en ceci : pourrait-il mettre sa confiance en Dieu pendant la famine et rester dans le chemin tracé par Dieu en dépit de celle-ci ? Il voulait bien habiter dans le pays choisi par Dieu dans la séparation des nations environnantes pendant les temps d’abondance, mais sous la pression de la famine, il l’abandonne. Paul le grand apôtre se retrouva en prison et dans l’affliction, alors la famine apparut. Paul doit dire : «Tu sais que tous ceux qui sont en Asie m‘ont abandonné,» 2 Timothée 1:15 et «tous cherchent leurs propres intérêts, et non pas ceux de Jésus Christ».

II. UN RECIT D’UNE FAMILLE PARTICULIERE AFFLIGEE DANS LA FAMINE ; C’est celle d’Elimélec. Son nom signifie ‘mon Dieu un roi’, agréable à l’état d’Israël quand les juges ont régné, parce que le seigneur était leur roi, et confortable pour lui et sa famille dans leur affliction, que Dieu était pour eux et qu’il règne à jamais. C’est vrai que souvent Dieu nous sauve, et que cela est extraordinaire, mais Dieu demande plus : que le Seigneur soit le Roi !

Son épouse était Naomi, ce qui signifie mon aimable ou ma plaisance. Mais les noms de ses fils étaient Machlon et Kiljon, malade et langueur, peut-être parce que des faibles enfants, se référant sûrement à leur faible condition et au fait probable pour être de ceux qui vivent longtemps. J’aimerais dire ce matin, que la condition de nos enfants quand nous nous éloignons, ne nous appelle pas à ce qu’ils meurent, mais qu’ils meurent spirituellement. Tels sont les productions de nos choses plaisantes, faibles et infirmes, qui se fanent vite et qui meurent. Ayant abandonné le pays de l’Éternel, il arrive dans le pays de son propre choix. Pire encore, une fois parvenue dans les champs de Moab, il «demeure là»

III. LE DEPLACEMENT DE CETTE FAMILLE DE BETHLEHEM DANS LE PAYS, CHAMP DE MOAB sur l’arrière du Jourdain, pour la subsistance, en raison de la famine, v.1, 2. Il semble qu’il y avait abondance dans le champ de Moab quand il y avait de pénurie de pain dans la terre d’Israël. Des cadeaux communs de la providence sont souvent accordés dans une plus grande abondance sur tels qui sont des étrangers à Dieu que sur ceux qui le connaissent et adorent. Moab était tranquille depuis sa jeunesse, Il reposait sur sa lie, Il n’était pas vidé d’un vase dans un autre (Jér 48:11). Là Elimélec entre, pour ne pas demeurer pour toujours, mais a séjourné pendant un certain temps, pendant la pénurie, comme Abraham, sur une occasion semblable, est entré en l’Egypte, et Isaac dans la terre des philistins.

Souvenez vous Moab ? L’ivresse et l’inceste… Descendants de Lot - GEN 19:36-37 Parfois ennemis, amis, d’Israël - Juges 3:12-30 ; 1 SAM 22:3-4

Maintenant ici,

1. Le soin d’Elimélec à s’occuper de sa famille, et de prendre soin de son épouse et de ses enfants, était sans doute louable. Si on ne s’occupe pas des siens, il aurait renié la foi, 1 Tim 5:8. Quand il a été dans cette étroitesse il n’a pas abandonné sa maison, ni disparu pour rechercher une fortune personnel, et laisser son épouse et ses enfants à leur sort personnel ; mais, comme il est devenu un mari tendre et un père affectueux, où il est allé il en a pris soin, pas comme l’autruche, Job 39:16 « Elle est dure envers ses petits comme s’ils n’étaient point à elle; Elle ne s’inquiète pas de l’inutilité de son enfantement. » Mais,

2. Je ne vois pas comment son déplacement dans le pays de Moab, sur ce problème, pourrait être justifié. Pour quelle raison Elimélec est allé davantage chez n’importe lequel de ses voisins ? N’avait il pas un Dieu à qui il pouvait prier ? La famine, il vaut mieux une situation difficile et temporaire, qu’un éloignement des circonstances, un rapprochement au créateur sera la meilleure solution.

Pour ceux qui ont demeuré dans cette maison il s’avère que la famine n’était pas aussi extrême mais qu’il y avait suffisamment pour garder la vie ; et sa charge était petite, seulement deux fils. Mais il ne pourrait pas être content avec la courte compensation avec laquelle ses voisins ont pris, et au jour de la famine ne pourrait pas être satisfait à moins qu’il ait gardé autant l’abondance pour la table qu’il avait eut autrefois.

S’il ne pourrait pas vivre dans l’espoir que viendrait des années d’abondance encore au temps voulu. Ce fut son problème, et cela a fait le déshonneur à Dieu et la bonne terre qu’il leur avait donnés, ont affaiblis les mains de ses frères, avec qui il aurait du avoir été disposé à prendre son sort, et ne pas donné un mauvais exemple pour les autres.

Les choses à apprendre d’Elimélec : l’impatience dans la difficulté nous amèneront plus loin que nous le pensons…

Notez, c’est une évidence d’un esprit mécontent, méfiant, instable, que d’être las de l’endroit dans lequel Dieu nous a placé nous, et le laisser immédiatement toutes les fois que nous rencontrons n’importe quel inquiétude ou gêne en lui. C’est de la folie de penser d’échapper à cette croix, que de toute manière, nous devons prendre.

C’est notre sagesse à croire de mieux faire de ce qui est, parce que c’est rarement changer d’endroit qui répare. Ou, s’il transporterait, pourquoi au pays de Moab ? S’il avait fait l’enquête, il est probable il aurait trouvé l’abondance dans certaines des tribus d’Israël, celles, par exemple, sur l’arrière du Jourdain, qui a entouré la terre de Moab ; s’il avait eu cette ardeur pour Dieu et son adoration, et cette affection pour ses frères qui sont devenus israélite, il ne se serait pas persuadé tellement facilement de disparaître et de séjourner parmi les Moabites.

L’image d’Elimélec qui meurt, c’est que dans un pays éloigné de Dieu, Elimélec, Dieu est Roi, celui là, cette vérité meurt pour notre vie, il ne dirige plus ! Avoir plus, ou rechercher plus dès fois signifie mourir ! Là où l’homme pense préserver sa vie, il la perd… ne t’éloigne pas de la maison du pain !

IV. LE MARIAGE DE SES DEUX FILS A DEUX DES FILLES DE MOAB APRES SA MORT, v.4. Tous conviennent que c’était faire anomalie. Un texte Chaldéen dit, ils ont transgressé le décret de la parole du seigneur en prenant les épouses étrangères. Si ils ne resteraient pas célibataires jusqu’à leur retour à la terre d’Israël.

Elimélec ne pensaient surtout pas, que quand il est allé séjourner dans Moab, que jamais ses fils s’associeraient ainsi à l’attirance avec les Moabites. Mais ceux qui introduisent les jeunes dans la mauvaise connaissance, et les prennent à l’écart des ordonnances publiques, bien qu’ils puissent penser à de bons principes et même sont armé contre la tentation, ne savent pas ce qu’ils font, ni ce qui en sera à la fin. Il ne s’avère pas que les femmes qu’elles ont épousées étaient prosélyte à la religion juive, parce qu’on dit qu’Orpa est retourné à ses dieux (v.15).

V. LA MORT D’ELIMELEC ET DE SES DEUX FILS, et l’état inconsolable de Naomi fut ce à quoi elle fut réduite. Son mari est mort (v.3) et ses deux fils (v.5) peu après leur mariage, et le Chaldéen indique, leurs jours ont été raccourcis, parce qu’ils ont transgressé la loi en épousant les épouses étrangères. Mariages Mauvais. Leurs dieux -- Chemosh, Moloch, Baal-peor -- étaient des incarnations de convoitise et de cruauté. Ils ont exigé des sacrifices humains. Des enfants ont été jetés dans leurs bras brûlants. Dans leur rituel la sensualité était piété rendue compte. Vraiment, Machlon et Kiljon furent exceptionnellement ‘chanceux’ avec leurs épouses.

1. Partout où nous allons nous ne pouvons pas prévenir la mort, si les flèches mortelles volent dans tous les endroits. Apprenez qu’en tant que parents, éloigné ou voisin à Dieu, avec votre amour, bonne éducation, n’est pas suffisant pour vos enfants pour la suite de leur vie.

2. Nous ne pouvons pas compter prospérer quand nous sortons du chemin de notre Seigneur. Matthieu 16:25 Car celui qui voudra sauver sa vie la perdra, mais celui qui la perdra à cause de moi la trouvera.

3. Cette mort, quand elle recueille une famille, souvent marque l’infraction et infraction. On est emporté à préparer des autres, suive d’autre ensuite ; un est emporté, et donc Dieu envoie des autres de la même sorte. Quand Naomi avait perdu son mari elle a pris tellement plus de satisfaction et a mis tellement plus de confiance dans ses fils. Sous l’ombre de ses proches réconforts de survie elle a pensé qu’elle vivrait parmi le païen. Enterrée peu après qu’ils aient été mariées. Si incertains et si meurtrissant sont tous nos plaisirs ici.

Mais comment désolée était la condition, et comment inconsolable l’esprit, de la pauvre Naomi, quand la femme était privé de ses deux fils et de son mari ! Ces deux choses t’arriveront subitement, au même jour, La privation d’enfants et le veuvage; Elles fondront en plein sur toi Esaie 47:9 ; Ces deux choses te sont arrivées: -Qui te plaindra? -Le ravage et la ruine, la famine et l’épée. -Qui suis-je pour te consoler? 51:19. C’est seul Dieu qui a des moyens de soulager ceux qui sont ainsi ruiné.

Apprenez que des résolutions de Naomi, et des problèmes qu’elle a vécu l’a ramené dans le pays de la promesse et que Dieu a permis sa bénédiction incalculable !

Naomi devint l’un des personnages centrale de l’histoire, à partir du moment où elle comprit ce qui lui arrivait par rapport à Dieu…