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Summary: L’humeur du psaume change de la lamentation (vv. 1-9) en la réflexion (vv. 10-12) et mène finalement à une hymne joyeux célébrant la grandeur de Dieu d’Israël (vv. 13-20). La variation dans le genre et syntaxe aussi bien que le changement du mètre de 3 +

Psaume 77 : Un Souvenir de la grandeur de Dieu

L’humeur du psaume change de la lamentation (vv. 1-9) en la réflexion (vv. 10-12) et mène finalement à une hymne joyeux célébrant la grandeur de Dieu d’Israël (vv. 13-20). La variation dans le genre et syntaxe aussi bien que le changement du mètre de 3 + de 3 à de 3 + de 3 + de 3 (Cf de vv. 16-19 ;. Hab 3:8-10) sont souvent cités comme indicateurs que le psaume est une rédaction de plusieurs fragments (voir l’introduction :Rime, mètre, et strophe). Dahood, d’autre part, conclut cela tandis que vv. 16-19 peut avoir été inséré dans le Psaume, la langue du Psaume entier est archaïque et ce par date du dixième siècle n’est pas peu probable (des psaumes 2:224).

Le psaume peut être lu en tant qu’individu déplorent le psaume. La situation originale n’est pas claire. Si nous assumons une date tôt, le psaume peut refléter une calamité nationale plutôt que l’abandon par Dieu en l’exil. Mais B.Z. Luria argumente du fait que ce psaume, ainsi que les psaumes 80 et 81, déplore la destruction de Samarie en 722 B.C."Psaumes d’Ephraïm," Beth Mikra 23 [ 1978 ] :151-60 [ Heb. ]). William A. Goy voit une dimension représentative en ce psaume ("de Dieu A-T-Il changé?" Maqqel Shaqedh. La Branche d’Amandier :Hommage Un Wilhelm Vischer [ Montpellier :Causse Graille Castelnau, 1960], pp 56-62). Il discute cela alors que nous ne devrions pas répéter les manières du psalmiste, les témoins toujours du psaume en notre jour au dilemme de la foi.

La structure du psaume indique les changements de l’humeur plus claire :

A. Pleurer pour recevoir de l’aide (vv. 1-2)

B. Souvenir de Dieu en hymnes de la nuit (vv. 3-6)

C. Questions (vv. 7-9)

B ’.Souvenirs des actes puissants de Dieu (vv. 10-12)

C ’.Confiance dans l’aide de Dieu (vv. 13-20)

I. Cri pour l’aide (77:1-2)

1-2 Déplorer est un cri de désespoir à Dieu. Le psalmiste répète les mots "que j’ai crié à Dieu" (v. 1 ;Lit., "ma voix [ qoli ] à Dieu") par l’emphase :"ma voix à Dieu, je pleure pour l’aide, ma voix à Dieu" (Lit. TR). Sa prière est si intense en raison de la "détresse" (v. 2). La nature de la détresse n’est pas indiquée, mais elle doit avoir été d’une telle grandeur quant à la cause de lui demander si Dieu rejetterait lui ou son peuple pour toujours (cf. vv. 7-9).

Le psalmiste désire ardemment un renouvellement de communion avec le seigneur, inauguré par de nouvelles forces majeure. La lamentation continue jusqu’à ce que Dieu entende (v. 1). À cet effet il "a cherché le seigneur" (Adonaï, v. 2), puisque le seigneur a l’autorité au-dessus de toutes les choses en tant que "maître" de l’univers. De mode orientale il "a étendu" ses mains dans la prière (143:6) et a continué à lever vers le haut ses mains "la nuit" (v. 2). Pourtant même dans le fait de déplorer ne peut pas trouver le repos. Il est agité à cause de la distance entre lui et Dieu. Il ne peut pas se soulager ni ne peut soulager d’autres. Il regarde à Dieu comme édredon unique de son âme (cf. GEN 37:35 « Tous ses fils et toutes ses filles se levèrent pour le consoler; mais il refusa toute consolation. Il disait: C’est dans le deuil que je descendrai vers mon fils au séjour des morts! Et il pleurait son fils. » ; Jér 31:15 « Ainsi parle l’Éternel: On entend des cris à Rama, Des sanglots, des larmes amères; Rachel pleure sur ses fils; Elle refuse d’être consolée sur ses fils, Car ils ne sont plus. » ).

II. Souvenir de Dieu en hymnes de la nuit (77:3-6)

3-6 dans son souvenir le psalmiste rappelle les forces majeure, célébrées dans les "chants la nuit" (v. 6). La détresse actuelle semble contradictoire à l’histoire de la participation et de l’amour de Dieu pour son peuple. Plus il réfléchit sur les perfections divines, plus il parle fort, et plus son l’esprit "se développe faible" (attep tith. 3 ; Cf. 107:5 ; 142:3 ; 143:4 ; Jonas 2:7) chez lui. Son souvenir actif de Dieu ne donne pas le réconfort mais a l’effet opposé : épuisement gémissant et spirituel.

Le psalmiste réfléchit "les anciens jours" comme célébré dans les "chants la nuit" (vv. 5-6). Les chants chantés la nuit étaient de réconfort, car le peuple de Dieu a remplacé leur fidélité à Dieu qui est puissant pour délivrer. Le souvenir de sa grande puissance les a encouragées, leur permettant de dormir tranquillement même dans la grande adversité (cf. 3:5-6 ; 4:8). Cependant, les hymnes de nuit ne semblent plus fonctionner. Ses yeux sont gardés "de se fermer" (v. 4).

Le psalmiste s’est préoccupé plus loin par ses pensées inquiétantes. Il ne pouvait pas parler avec cohérence au sujet de sa détresse (v. 4). Au lieu de cela, les questions et les réflexions du passé ont inondé ses pensées. Les images de Dieu après des actes de bonté ("des anciens/jours"/"les années il y a bien longtemps") ont fonctionné après l’oeil de son esprit. Il pense, se rappelle, et se demande, À la fin il doit verbalise ses questions (voir vv. 7-9).

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